Franck Thilliez : Luca
Partout, il y a la terreur.
Celle d’une jeune femme dans une chambre d’hôtel sordide, ventre loué à prix d’or pour couple en mal d’enfant, et qui s’évapore comme elle était arrivée.
Partout, il y a la terreur.
Celle d’un corps mutilé qui gît au fond d’une fosse creusée dans la forêt.
Partout, il y a la terreur.
Celle d’un homme qui connaît le jour et l’heure de sa mort.
Et puis il y a une lettre, comme un manifeste, et qui annonce le pire.
S’engage alors, pour l’équipe du commandant Sharko, une sinistre course contre la montre.
C’était écrit : l’enfer ne fait que commencer.

Vous pouvez laisser une réponse.
Un roman captivant comme toujours mais de plus en plus machiavélique
Des recherches approfondies sur l’AI, les manipulations génétiques, les géants du Net… Tout ce qu’il faut pour faire du pur Thilliez. Ceux qui l’aiment ne seront pas déçus
Comme d’habitude, nous avons un roman très travaillé et bien renseigné allant du thème de l’intelligence artificielle, du big data et autres joyeusetés du dark net en passant par la GPA. En cela, Franck Thilliez sait toujours nous combler mais quelle déception que le couple Sharko/Hennebelle ne soit pas plus au devant de la scène. Même si une nouvelle protagoniste (avec ses propres casseroles à trainer) fait son apparition et qu’un début de relation semble vouloir se créer entre elle et Nicolas. Il y a comme un gout d’inachevé.